L'idée de laisser les loups errer librement dans le Mercantour était séduisante et moderne. Cependant, les bergers n'étaient pas ravis, et quelques mois plus tard, des troubles éclatèrent. Mais est-ce vraiment un loup qui tue les moutons autour du village de Saint-Victor ? De vieilles superstitions refont surface, donnant naissance à une rumeur : ce n'est pas un animal, c'est un loup-garou. Lorsqu'une éleveuse est retrouvée égorgée dans son étable, les rumeurs tournent à la psychose. À Paris, le commissaire Adamsberg suit de près l'actualité de la Bête du Mercantour. « Comme des braises ardentes, mon fils, comme des braises ardentes sont les yeux du loup la nuit », murmure la rumeur.