Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans, portant l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents en pleine nuit par la police française. Prise de panique, elle emmène son petit frère en lieu sûr, promettant de revenir au plus vite pour le libérer. Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, journaliste américaine mariée à un Français, est chargée de couvrir la commémoration de la rafle du Vél' d'Hiv. Soixante ans plus tard, sa route croise celle de Sarah et sa vie bascule. « Elle s'appelait Sarah » raconte l'histoire de deux familles liées par un terrible secret et offre une évocation de l'une des pages les plus sombres de l'Occupation. Ce roman poignant sur la culpabilité et la nécessité de la mémoire a connu un succès international, avec des traductions dans trente-quatre pays.